Une gouvernance
informationnelle est non seulement un atout mais un mode de fonctionnement
impératif si on veut évoluer avec les technologies. Elle nous permet de
mieux comprendre le rôle de l’individu dans l’axe de l’alignement stratégique
ainsi que l’apport de valeurs permettant d’identifier les zones d’impacts
aussi bien que dans les façons de procéder.
En matière de
ressources humaines et matérielles les facteurs tels que l’organisation,
l’individu, la connaissance et l’expertise et le côté technique
et technologique ce doivent être au cœur de nos préoccupations. Lors de la
mise en place d’outils de mesures de performances, on se doit de considérer
l’utilisation de mesures métriques appropriées, accompagnées d’éléments
clés, de certains éléments forts et d’éléments contributoires
toutes porteuses d’information.
Tout changement exige
une grande capacité d’adaptation et influe directement sur le niveau des
priorités touchant les activités dans l’organisation. Notre degré de tolérance
face au risque requiert une prise de conscience et un degré de responsabilité
de la part des acteurs et plus particulièrement faisant usage des nouvelles
technologies de l’information.
Seule la gouvernance
des TI ne peut agir et s’approprier le monopole. Elle est rattachée et guidée
par la gouvernance de l’entreprise et va au-delà de l’organisation. Elle occupe
une place importante dans l’environnement où elle interagit.
La gouvernance, et
plus particulièrement celle des TI, se construit à partir des technologies du
savoir dont le partage de cette intelligence fait de manière collective et
globale invite à mettre en place une gouvernance transformée, adaptable et
adaptée comme une approche triangulaire.
C’est ce qui permet de placer le facteur humain au cœur de la démarche pourvu que l’on puisse lever le voile sur une gouvernance à hiérarchie dominante et opter de préférence vers une culture où l’individu prend part à ce partage collectif et collaboratif. De ce fait, à l’opposé, c’est ce que la gouvernance à hétérarchie dominante apporte à notre méthodologie d’arrimage comme point central favorisant l’interrelation et la coopération auprès des acteurs.
L’interaction entre
les individus/acteurs et la gouvernance des TI à partir de la feuille de route.
La feuille de route possède trois mécanismes de pilotage appuyés par une série
d’étapes inspirées des pratiques de projets accompagnés des valeurs
organisationnelles mesurables comme méthodologie de mise en œuvre.
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